TWICE#2
jeune public / danse / arts du geste
Alexander Vantournhout • Aïcha M’Barek & Hafiz Dhaou
Deux pièces de vingt minutes chacune qui finissent par n’en faire qu’une… tel est le pari lancé au duo de chorégraphes Aïcha M’Barek & Hafiz Dhaou et à l’artiste protéiforme – acrobate, jongleur, danseur – Alexander Vantournhout. Deux univers artistiques distincts qui s’entremêlent pour démontrer que la différence est une beauté qu’il faut apprendre à voir !
Comment se libère-t-on de ses propres habitudes ? En déformant l’apparence de la danseuse Astrid Sweeney et en limitant ses mouvements avec des costumes et accessoires inhabituels, Alexander Vantournhout cherche, avec Épaulette, à montrer comment, sans en avoir conscience, chacun réduit son potentiel physique et expressif par ce qu’il porte.
Pour D’eux, Johanna Mandonnet rejoint Astrid Sweeney. Aïcha M’Barek & Hafiz Dhaou s’inspirent de l’histoire personnelle des deux interprètes pour questionner l’altérité. Comment interagir ? Une proposition ludique qui joue de nos différences pour mettre en lumière nos ressemblances !
TARIF PETITS ET GRANDS
+ séances scolaires
Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
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TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
Épaulette
chorégraphie Alexander Vantournhout
assisté d’Emmi Väisänen
avec Astrid Sweeney
création lumière Xavier Lazarini
regard chorégraphique Anneleen Keppens
remerciements Inês Carijó, Sébastien Hendrickx et Mariana Miranda
D’eux
chorégraphie Aïcha M’Barek & Hafiz Dhaou
interprétation Johanna Mandonnet & Astrid Sweeney
création lumière Xavier Lazarini
univers sonore Hafiz Dhaou
costumes Aïcha M’Barek
production Le Gymnase CDCN Roubaix – Hauts-de-France
coproduction Chaillot – Théâtre national de la Danse, La Manufacture CDCN Nouvelle-Aquitaine Bordeaux • La Rochelle, POLE-SUD CDCN Strasbourg, Charleroi danse – Centre chorégraphique de Wallonie-Bruxelles, Le Rive Gauche – scène conventionnée d’intérêt national art et création – danse, HET LAB
avec le soutien des Hivernales – Centre de Développement Chorégraphique National d’Avignon
projet porté par LOOP – réseau pour la danse et la jeunesse
Alexander Vantournhout (Roulers, Belgique, 1989) a étudié la roue simple, l’acrobatie et le jonglage à l’ École supérieure des arts du cirque de Bruxelles (ESAC), et la danse contemporaine à P.A.R.T.S. (Performing Arts Research and Training Studios, Bruxelles). Depuis, il est l’auteur de plusieurs soli : Caprices (2014), une chorégraphie sur la musique de Salvatore Sciarrino, et ANECKXANDER en collaboration avec Bauke Lievens. Ce dernier est lauréat de CircusNext 2014, ainsi que du Prix Jeune Théâtre et du Prix du public à Theater Aan Zee (Ostende, 2015). Il a également été sélectionné par Aerowaves et le Theaterfestival d’Anvers (2016). Pour la création de Raphaël (2016), Alexander Vantournhout et Bauke Lievens sont artistes en résidence à Kc Nona, Malines (BE). Alexander est Ambassadeur Culturel
de la Ville de Roulers (2016-2018), artiste associé à PERPLX (Marke, 2017-2019), et artiste en résidence au Vooruit, Gand (2017-2021). Une fois diplômé à P.A.R.T.S., Alexander continue à se former. Il voyage au Vermont (États-Unis) pour étudier l’improvisation et en particulier la danse contact avec Steve Paxton et Lisa Nelson. Récemment, il s’est rapproché de culture de ‘Mouvement’, et il a échangé et étudié avec Martin Kilvady, Ido Portal et Fighting Monkey (Jozef Frucek et Linda Kapetenea). Son langage physique porte les influences d’une éducation et de circonstances de travail variées. Toutefois, il est marqué par deux constantes : sa recherche du potentiel créatif et cinétique dans la limitation physique, et la relation ou la frontière entre le performeur et l’objet.
Aïcha M’Barek étudie au Conservatoire de musique et danse de Tunis et intègre la compagnie de Syhem Belkhodja (Sybel Ballet Théâtre). Dès 1999, elle entame des études cinématographiques à l’Institut Maghrébin de Cinéma (IMC) à Tunis. En 2000, elle obtient une bourse d’étude pour suivre les cours du Centre national de danse contemporaine d’Angers. En 2001, elle crée au CNDC d’Angers le quatuor Essanaï (le créateur) puis en 2002 le solo Le Télégramme, qui puise ses sources dans L’amant de Marguerite Duras. En 2005, elle danse dans Temps de feu de la Compagnie Anouskan.
Danseur hip hop, c’est la chorégraphe tunisienne Syhem Belkhodja qui forme et initie Hafiz Dhaou à la danse contemporaine (Sybel Ballet Théâtre) dès 1989. Il participe ainsi à de nombreux projets, comme ceux du metteur en scène Fadhel Jaziri. En 1999, il entame des études cinématographiques à l’Institut Maghrébin de Cinéma (IMC) à Tunis. En 2000, il obtient une bourse d’étude pour suivre les cours du Centre national de danse contemporaine d’Angers. Durant cette période naît une étroite collaboration avec la danseuse tunisienne Aïcha M’Barek. En 2001, il crée au CNDC d’Angers le quatuor Inta Omri (tu es ma vie), hymne à la diva Oum Kalhtoum. En 2002, il crée le solo Zenzena (le cachot). En 2003-2004, il intègre la formation EX.E.R.CE Centre National Chorégraphique de Montpellier. Il danse pour Abou Lagraa (Compagnie La Baraka) dans Cutting flat en 2004 et Où transe en 2005.
En 2005, Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou créent la compagnie Chatha. Réunissant leurs aspirations artistiques, ils créent depuis lors leurs spectacles ensemble : Kawa en 2010, Un des sens et Kharbga en 2011, Transit en 2012, Toi et Moi en 2013 puis Narcose en 2017, accueilli à Bonlieu.
« Contrepoint et contrepoids entre les deux femmes sont l’enjeu de cette création plutôt abstraite, très structurée, qui joue sur les points de déséquilibre extraordinairement fluide, malgré ou grâce à des énergies contrariées, le duo joue sur toutes les gammes de sensations. »
La Terrasse. Agnès Izrine, 15 DÉC. 2020
Distributions Crédits
Épaulette
chorégraphie Alexander Vantournhout
assisté d’Emmi Väisänen
avec Astrid Sweeney
création lumière Xavier Lazarini
regard chorégraphique Anneleen Keppens
remerciements Inês Carijó, Sébastien Hendrickx et Mariana Miranda
D’eux
chorégraphie Aïcha M’Barek & Hafiz Dhaou
interprétation Johanna Mandonnet & Astrid Sweeney
création lumière Xavier Lazarini
univers sonore Hafiz Dhaou
costumes Aïcha M’Barek
production Le Gymnase CDCN Roubaix – Hauts-de-France
coproduction Chaillot – Théâtre national de la Danse, La Manufacture CDCN Nouvelle-Aquitaine Bordeaux • La Rochelle, POLE-SUD CDCN Strasbourg, Charleroi danse – Centre chorégraphique de Wallonie-Bruxelles, Le Rive Gauche – scène conventionnée d’intérêt national art et création – danse, HET LAB
avec le soutien des Hivernales – Centre de Développement Chorégraphique National d’Avignon
projet porté par LOOP – réseau pour la danse et la jeunesse
Biographie
Alexander Vantournhout (Roulers, Belgique, 1989) a étudié la roue simple, l’acrobatie et le jonglage à l’ École supérieure des arts du cirque de Bruxelles (ESAC), et la danse contemporaine à P.A.R.T.S. (Performing Arts Research and Training Studios, Bruxelles). Depuis, il est l’auteur de plusieurs soli : Caprices (2014), une chorégraphie sur la musique de Salvatore Sciarrino, et ANECKXANDER en collaboration avec Bauke Lievens. Ce dernier est lauréat de CircusNext 2014, ainsi que du Prix Jeune Théâtre et du Prix du public à Theater Aan Zee (Ostende, 2015). Il a également été sélectionné par Aerowaves et le Theaterfestival d’Anvers (2016). Pour la création de Raphaël (2016), Alexander Vantournhout et Bauke Lievens sont artistes en résidence à Kc Nona, Malines (BE). Alexander est Ambassadeur Culturel
de la Ville de Roulers (2016-2018), artiste associé à PERPLX (Marke, 2017-2019), et artiste en résidence au Vooruit, Gand (2017-2021). Une fois diplômé à P.A.R.T.S., Alexander continue à se former. Il voyage au Vermont (États-Unis) pour étudier l’improvisation et en particulier la danse contact avec Steve Paxton et Lisa Nelson. Récemment, il s’est rapproché de culture de ‘Mouvement’, et il a échangé et étudié avec Martin Kilvady, Ido Portal et Fighting Monkey (Jozef Frucek et Linda Kapetenea). Son langage physique porte les influences d’une éducation et de circonstances de travail variées. Toutefois, il est marqué par deux constantes : sa recherche du potentiel créatif et cinétique dans la limitation physique, et la relation ou la frontière entre le performeur et l’objet.
Aïcha M’Barek étudie au Conservatoire de musique et danse de Tunis et intègre la compagnie de Syhem Belkhodja (Sybel Ballet Théâtre). Dès 1999, elle entame des études cinématographiques à l’Institut Maghrébin de Cinéma (IMC) à Tunis. En 2000, elle obtient une bourse d’étude pour suivre les cours du Centre national de danse contemporaine d’Angers. En 2001, elle crée au CNDC d’Angers le quatuor Essanaï (le créateur) puis en 2002 le solo Le Télégramme, qui puise ses sources dans L’amant de Marguerite Duras. En 2005, elle danse dans Temps de feu de la Compagnie Anouskan.
Danseur hip hop, c’est la chorégraphe tunisienne Syhem Belkhodja qui forme et initie Hafiz Dhaou à la danse contemporaine (Sybel Ballet Théâtre) dès 1989. Il participe ainsi à de nombreux projets, comme ceux du metteur en scène Fadhel Jaziri. En 1999, il entame des études cinématographiques à l’Institut Maghrébin de Cinéma (IMC) à Tunis. En 2000, il obtient une bourse d’étude pour suivre les cours du Centre national de danse contemporaine d’Angers. Durant cette période naît une étroite collaboration avec la danseuse tunisienne Aïcha M’Barek. En 2001, il crée au CNDC d’Angers le quatuor Inta Omri (tu es ma vie), hymne à la diva Oum Kalhtoum. En 2002, il crée le solo Zenzena (le cachot). En 2003-2004, il intègre la formation EX.E.R.CE Centre National Chorégraphique de Montpellier. Il danse pour Abou Lagraa (Compagnie La Baraka) dans Cutting flat en 2004 et Où transe en 2005.
En 2005, Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou créent la compagnie Chatha. Réunissant leurs aspirations artistiques, ils créent depuis lors leurs spectacles ensemble : Kawa en 2010, Un des sens et Kharbga en 2011, Transit en 2012, Toi et Moi en 2013 puis Narcose en 2017, accueilli à Bonlieu.
La presse en parle
« Contrepoint et contrepoids entre les deux femmes sont l’enjeu de cette création plutôt abstraite, très structurée, qui joue sur les points de déséquilibre extraordinairement fluide, malgré ou grâce à des énergies contrariées, le duo joue sur toutes les gammes de sensations. »
La Terrasse. Agnès Izrine, 15 DÉC. 2020